Paul Collier describes the four important topics that he thinks would help the "bottom billion" in the long-run: aid, trade, security and governments. In this short video, Collier explains why he considers government support important.
En trente ans, la finance est devenue toute-puissante. Pas un jour sans connaître les mouvements du FTSE ou du NASDAQ, pas une semaine sans analyse du change, pas un mois sans fermeture d’usine, pas un an sans inquiétude sur la dette publique, pas une décennie sans une crise financière. Le bilan macroéconomique de nos économies occidentales est peu glorieux : une croissance molle, des investissements atones, un chômage endémique, des inégalités croissantes. Le constat est sans appel : les politiques libérales ont déréglementé la finance, et la banque, qui accompagnait autrefois l’industrie dans ses investissements à long terme, lui fait aujourd’hui obstacle. La créativité des financiers s’est substituée à celle des entrepreneurs. Il est urgent de remettre la finance à sa place : ce n’est pas à l’économie d’obéir à la finance, mais à la finance de servir l’économie. Un ouvrage qui décrypte trente ans de financiarisation de l’économie, propose un examen détaillé de l’articulation entreprise/ finance et avance des propositions – analysées et commentées par Michel Aglietta – pour mieux penser l’économie réelle.
Im Rahmen der Veranstaltungsreihe der Initiative "Kritische Nachhaltigkeit in Theorie und Praxis" mit dem Titel "Ökologie, Krise und Kapitalismus – Ist eine andere Welt noch möglich?" stellt Frederick Heussner den Zusammenhang der derzeitigen „Vielfach-Krise” theoretisch wie praktisch dar. Er geht dabei im ersten Teil auf die grundlegenden Mechanismen kapitalistischer Krisenentstehung und -berarbeitung ein, um diese im zweiten Teil im Rahmen eines historischen Überblicks über die Kapitalistische Entwicklung seit dem zweiten Weltkrieg zu veranschaulichen. Dabei wird deutlich, dass aktuelle ökonomische Krisenphänomene nicht isoliert, sondern als Teil der größeren krisenhaften Entwicklung des globalen Kapitalismus zu verstehen sind.
Entretien avec Sylvie Morel, économiste et professeure titulaire au Département des relations industrielles de l’université Laval, à Québec, où elle est arrivée en 1996. Ses enseignements et ses recherches portent sur les politiques publiques de l’emploi, la sécurité sociale et la théorie économique (l’économie institutionnaliste de John R. Commons et l’économie féministe). Ses travaux sont menés dans une perspective de genre. Elle a collaboré à plusieurs réseaux de recherche féministes, aux fins, notamment, de l’élaboration de formations sur les théories économiques pour les groupes de femmes. Elle est membre du Réseau québécois en études féministes (RéQEF) ainsi que chercheuse associée à la Chaire Claire-Bonenfant – Femmes, Savoirs et Sociétés. Signataire du Manifeste pour un Québec solidaire (2005), elle a co-fondé le site Économie autrement – dédié à la promotion de l’économie hétérodoxe – et y a collaboré pendant 7 ans. Elle a aussi siégé quatre ans au Comité de direction du Centre d’étude sur la pauvreté et l’exclusion (CEPE), rattaché au ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MESS).
Professor Joseph Aldy from Harvard Kennedy School gives us some insights about how economics can set the balance between policymakers, scientists, employers and citizens.
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